Cet article explore la relation complexe entre la production de canne à sucre et la nécessité d’extraire la matière première. Offrant des informations précieuses aux producteurs et aux chercheurs intéressés à comprendre les défis de la production de canne à sucre bisada, l’objectif est d’expliquer la question de la santé et les conséquences pour l’industrie.

Le Brésil est le plus grand producteur mondial de canne à sucre et a connu une production croissante ces dernières années, principalement due à la demande intérieure d'éthanol et de sucre, ainsi qu'à l'augmentation des exportations. Parmi les différentes stratégies nécessaires à la production de canne à sucre, celle qui a retenu l'attention dans la production est le processus de bisaring de la canne à sucre.

Cette attention vient du fait qu'en 2023, grâce aux progrès de la gestion et aux fortes précipitations, la productivité des usines et des fournisseurs était, pour la plupart, plus élevée que dans l'histoire, ce qui a généré un processus de planification du processus de bisarisation de la canne à sucre de sucre. Un point d'attention est que le dernier grand moment, en volume de tonnes par les plantes des champs de canne à sucre fendus a eu lieu en 2009, au cours duquel des volumes de plus de 2 000 millimètres de précipitations ont été observés dans la récolte, par exemple à Frutal dans le Minas Gerais. (historiquement, il y avait un volume d'environ 1 150 millimètres).

Par conséquent, cet article est organisé pour décrire réellement ce que serait une canne double et quand cette stratégie est la plus couramment utilisée. Par la suite, le comment et les conséquences agronomiques de la réalisation de ce processus et la manière de le traiter sont expliqués. Enfin, les conséquences de cette décision en termes de production industrielle et de qualité technologique.

Facteur critique: bisada « poêle sèche » versus bisada stratégique: La canne à sucre Bisada a gagné en importance en raison des événements qui ont abouti à un volume important de cette catégorie de canne à sucre lors de la récolte 2023/2024. En raison d'une récolte considérée comme record par plusieurs transformateurs, certains n'avaient pas la capacité technique ou opérationnelle de broyer toute la matière première pendant l'année de récolte, étant contraints d'opter pour la stratégie bisar. Il existe des usines qui utilisent à bon escient cette technique pour gagner en productivité dans les champs de canne à sucre moins productifs, mais il ne s'agit pas d'une pratique largement utilisée en général en raison de la complexité de la rentabiliser.

De manière simplifiée, un champ de canne à sucre divisé est un champ qui, en raison des stratégies ou des besoins de la plante, subit une récolte sans que celle-ci soit effectuée, et est ensuite traité par l'industrie sur une période plus longue dans le champ, mais en dehors du planning conventionnel de l'usine. Cet événement entraîne une série d'impacts, tels qu'une période de maturation plus longue de la canne à sucre, ce qui se traduit par une teneur plus élevée en fibres, la création d'un environnement propice à la prolifération de champignons, des modifications dans la composition chimico-technologique du jus de canne à sucre, de la canne à sucre, comme des concentrations élevées de composés phénoliques et d'amidon, entre autres. Cependant, des points positifs sont également observés, parmi lesquels une augmentation de la productivité dans des plans bien conçus et exécutés.

Les plantations de canne à sucre coupées consciemment et avec des paramètres d'exécution sont appelées coupes stratégiques. Ce sont les cultures dans lesquelles les éléments sont évalués et calculés pour que les champs de canne à sucre deviennent les plus rentables possibles. Techniquement, un champ de canne à sucre peut être plus productif à des niveaux de 30 % en tonnes de canne à sucre par hectare par rapport à une récolte de l'année de récolte en cours par rapport à l'année de récolte suivante, lorsque tous les points sont bien évalués. Il est donc très important de prendre en compte ces facteurs pour prendre une décision qui aboutira au succès du groupe.

A l’inverse, lorsque les stratégies ne sont pas très claires et que la décision est prise de manière compulsive, on parle de bisada pane seca. Il s'agit de cultures pour lesquelles la décision a été prise tardivement, sans évaluation complète des facteurs conditionnant le succès productif et qui aboutissent à plusieurs problèmes pour la récolte suivante. Un champ de canne à sucre récolté sans prendre les précautions nécessaires peut entraîner une perte en tonnes de sucre par hectare d'environ 60%, provoquant des pertes économiques, agricoles et industrielles, ce qui signifie qu'il faut davantage de produits pour le processus industriel.

Toutes les conséquences doivent être évaluées lorsque la condition bisar devient nécessaire. Par conséquent, pour évaluer une culture, une classification bien conçue doit être réalisée en tenant compte de plusieurs aspects. Concernant l'organisation agronomique de la production sucrière-énergétique, les points cruciaux pour classer le champ de canne à sucre à récolter sont:

• Productivité: Pour vérifier un champ de canne à sucre, la meilleure option serait celui avec la productivité la plus faible lors de la récolte en cours et la plus petite taille. Ces points garantissent, entre autres, l'absence de pourboire.
• Application des technologies: Un autre facteur est de gérer le champ de canne à sucre pour qu'il soit coupé avec des produits qui traitent les principales difficultés liées à la coupe de la canne, aux maladies et aux ravageurs.
• Maturation et qualité du champ de canne à sucre: En effet, évaluer l'état du champ de canne à sucre en termes d'aspects technologiques peut garantir une meilleure qualité au moment de la récolte ultérieure.

Une fois la décision de doubler prise, on a alors des conséquences possibles sur le champ de canne à sucre. La période de culture plus longue peut avoir des impacts négatifs sur la qualité de la matière première, en raison d'une plus grande exposition aux ravageurs, aux maladies et aux conditions météorologiques défavorables, et de la création de microclimats propices au développement d'agents pathogènes. Ces points peuvent provoquer la dépréciation de la matière première, favorisant la pourriture de la matière et augmentant le coût industriel de production des produits finaux.

Un autre point est le fait que l'allongement de la période de champ entraîne la présence de tissus plus anciens et fibreux. La présence de fibres dans la canne à sucre peut avoir un impact significatif sur la production de sucre. L'excès de fibres peut rendre difficile l'extraction du jus de canne à sucre pendant le processus de mouture, affectant ainsi l'efficacité et le rendement de la production de sucre.

Dans le contexte de la production d’éthanol, les fibres de la canne à sucre bisada jouent également un rôle crucial. Une plus grande quantité de fibres peut influencer l’efficacité de la fermentation, affectant ainsi le taux de conversion des sucres en éthanol. Outre les conséquences industrielles, la stratégie bisar motive l'attention agricole sur plusieurs points.

Par conséquent, pour les consultants de MS Fernandes, il est nécessaire de comprendre la nécessité principalement de récoltes de canne à sucre en double trempage. Pour y parvenir, il faut établir une classification précise des cultures de bisado, dans laquelle les principaux éléments à évaluer sont, par ordre d'importance:

1. Floraison,
2. Listage favorisant les ravageurs et les maladies,
3. Variétés,
4. Ravageurs et maladies,
5. Mauvaises herbes (C4), et
6. Risque d'incendie ou restriction.

En d’autres termes, à un niveau d’importance, la récolte doit suivre ces facteurs pour réduire les pertes de ce processus. En terminant ce passage, nous constatons que les plantations de canne à sucre méritent une attention particulière avant et après la décision. Une gestion correcte peut garantir une qualité positive pour la récolte de l'année suivante et assurer un parcours productif avec des chemins propres et dégagés pour le groupe et les producteurs.